CREV[ART]: septembre 2010

25 sept. 2010

Tattoo Art Fest 2010

La semaine du 15 au 19 septembre a été mouvementée à La Halle Freyssinet.

En effet, l'espace a accueilli la quatrième édition du TATTOO ART FEST, se déroulant les 17, 18 et 19 septembre. A l'affiche, 150 tatoueurs venus du monde entier...de quoi régaler nos amis tatoués!

Histoire de chauffer un peu les gens, l'évènement était précédé de la soirée rock "Play It Loud!" le 15 septembre, ambiancée (entre autres) par le groupe Banane Metalik, adepte du "gore n'roll, mélange de rock et de mises en scène sanglantes accompagnés d'une go-gore danseuse.

Banane Metalik

Le lendemain, l'ambiance était plus glamour avec un spectacle d'effeuillage burlesque offert par une dizaine de danseuses plus belles les unes que les autres.

Valentina Del Pearls

Miss Lorrie Ann

Dynamita Kommando

Miss Lorrie Ann

Miss Glitter Painkiller

Flyers de la conv'

SEPTIK et SAKI ont été invités à réaliser une fresque pour l'évènement...Ambiance tattoo assurée!

Graphique et épuré, ils signent un mur mélant typos, lettrage, réalisme et dessins croquis.

Septik

On dirait que le graff marche bien avec les tatouées qui ont très vite défilé devant la bande.

Femke Fatale

Allez...on entre!

Le salon parisien ART.CORPUS était plus que présent avec toute une allée privée.

Art.Corpus

Ludo tatoueur/Rise graffeur

Ludo

Les parisiens de chez MIGOII n'ont pas chômé et ont réalisé un dos à quatre mains.

Au final, trois jours de boulot et un tatouage hyper détaillé, d'une qualité déroutante.

Les vietnamiens de SANHUGI aussi, ont relevé le défi en réalisant trois dos intégraux.

Des dos, toujours des dos!

Et pendant que les dermographes vibrent dans toute la convention, le néo-zélandais BRENT MC COWN, lui, préfère piquer à la traditionnelle.

Plutôt impressionnant à voir...

Voici de quoi faire taire les mauvaises langues qui pensent que la tatouage est un truc de mecs. Cette année était placée sous le signe de la femme avec une convention remplie de tatoueuses de toutes les nationalités.

La norvégienne Maya en plein travail sur Saner

Lucky Electric

Le problème dans ce genre d'endroits, c'est que l'on ne sait plus où donner de la tête, des tatouages dans tous les sens, tous plus beaux les uns que les autres.